Je construis mes sculptures comme dans mon enfance,quand je faisais un théatre pour me faire du théatre,,un univers de la dérision et de liberté.
Des ondines venues d’on ne sait trop ou s’installent discrètement dans nos paysages bucoliques et sur nos plages désertées par les touristes. Accueillies par Vincent Prieur, qui les habille et les maquille, elles déploient l’élégance de leur formes. Après un dernier voyage à bord de véhicules bricolés qui cahotent dans notre imaginaire, les voilà qui égayent nos vies. René Turc