Si le bleu du ciel se craquelait,
Alors il ne resterait plus que les oiseaux
Pour voyager dans le nid douillet des nuages,
Suspendu à un fil.
Si la mer se morcelait par petits bouts,
Alors les abysses engloutiraient le dernier des hommes,
Qui accroché à l’éternel soleil
N’atteindrait que sa chute.
C’est un monde qui se meut dans un patchwork électrique,
Caché parmi les lumières et les ombres de la vie.
Ce monde entre en mouvement et chavire au gré des couleurs.
Barbe électrique