Diplômée des Beaux-Arts de Bourges et de l’Ecole Duperré, Catherine Rivoire a débuté sa carrière dans le design textile.
Elle est morte en 2014 d’un cancer de l’utérus. C’est dans le cadre d’une thérapie artistique que Catherine a commencé à broder ses poupées, une manière de focaliser ses angoisses. Les poupées, 15 en tout, racontent son bouleversement face à la maladie. Ces personnages sont devenus les acteurs de sa peur de mourir et de son envie de vivre.
Mais le travail a très vite dépassé le cadre thérapeutique pour composer une véritable recherche artistique.
Les poupées et les photos (prises par l’artiste et faisant partie intégrante de sa recherche) sont présentées pour la première fois au public. Son dernier souhait en quelque sorte.